POPPY
Z. BRITE (écrivain)
(à
propos de Birthday Party)
"C'est une période sombre de sa discographie que je ne
connais pas très bien, même s'il m'a toujours semblé
être une personne très sincère dans ses textes."
(mai 2001)
BROM
(illustrateur)
(à
propos de la présence de Nick dans les remerciements de son
recueil d'illustrations Darkwërks)
"Simplement pour l'inspiration et la puissance, la force qu'il
y a dans ses chansons. Ses paroles sont tellement "visuelles",
son esprit est tellement sombre, ses mélodies m'ont accompagné
à travers des centaines de peintures." (novembre
1999)
MURIEL DELEPONT (photographe)
"Nick Cave
aussi reste pour moi un souvenir de rencontre et de séance
photos très agréable. Mais il est différent de
Blixa. Lui (Nick), au contraire, est une personne très accessible,
simple et gentille." (février 2002)
"Mes portraits
de Nick Cave sont presque des peintures. On le reconnaît bien
sûr, mais ce n'est pas ce que j'appelle une photo de presse."
(février 2002)
OLIVIER GRESSON (dessinateur de BD)
(à propos
de son personnage Niklos Koda)
"Je me suis rendu compte très vite que Koda avait la coiffure
d'un de mes chanteurs préférés, Nick Cave. On
n'invente jamais tout..." (2001)
CLAIRE LEGENDRE (écrivain)
(à
propos de l'un de ses ouvrages)
"J'écris en écoutant de la musique : il y a beaucoup
de Nick Cave et de PJ Harvey dans 'Viande', du Velvet aussi, Otis
Redding [...]. Et Leonard Cohen. Mais Nick Cave reste mon héros,
je l'ai vu à Nice espérant obtenir un autographe, et
là je me sens redevenir midinette ! Et puis Theo Hakola, et
plein d'autres choses que je n'ai pas cité [...]. Et 'Harvest'
de Neil Young. Et Tom Waits, bien sûr..."
(septembre 1999)
VAUGHAN
OLIVER (graphiste chez 4AD, auteur de pochettes pour Pixies, Breeders,
Cocteau Twins...)
"C'est à
cette époque que j'ai été marqué à
vie par les Birthday Party. Je ne pense pas avoir vu qui que ce soit
de meilleur qu'eux sur scène. Je regrette de ne pas avoir pu
travailler avec eux. Nick Cave traînait souvent dans les bureaux
de 4AD. Mais il voulait quelque chose de trop cru, des choses que
je ne me sentais pas capable de faire à l'époque. Maintenant,
ce serait différent." (janvier 2001)
BRUNO
BAYON (rock-critique)
(en
évoquant Nick Cave)
"De Leonard Cohen à Elvis Presley en passant par Bob Dylan
revisité par Johnny Cash et John Lee Hooker, c'est comme s'il
dérivait, tectoniquement, gravement, des effets européens
vers les causes américaines."
(1988)
PATRICK EUDELINE (rock-critique, ex-membre
des Asphalt Jungle)
"Poursuivi
par les grungers, Neil Young devait aller ailleurs. Comme il a toujours
fait. Et quand "les autres" se contentent de reprendre Robert
Johnson ou les tics de B.B.King, utilisent le blues comme un refuge
et un repli qui ne mange pas de pain, lui est un des rares à
pouvoir transcender l'idiome. Comme un Nick Cave ou un Tom Waits qui
n'ont jamais eu besoin de la mode pour hurler à la lune."
(1993)
ROB
KENIGER (directeur d'agence internet à Brisbane, Australie)
(à
propos de la musique qu'il écoute quand il développe)
"De tout et de rien. Beaucoup de musique australienne, tel que
Nick Cave and the Bad Seeds, Spiderbait, the Go-Betweens. The Pogues.
Michelle Shocked."
LAURENCE
ROMANCE (rock-critique)
(à
propos de Tender Prey)
"Nick Cave a construit - d'incantations et d'envoutements sorciers
- cet enfer foudroyé où le rock idéal s'agite."
(1988)
deesdabeth
(webmaster)
"Je tiens
à remercier Olivier P. de m'avoir soumis l'idée de créer
cette rubrique et d'avoir participé à son élaboration
;-)" (mars 2002)
"Je remercie
également Priscilla pour sa contribution à cette rubrique."
(mars 2002)

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